La conscience du mal suppose la conscience, mais le mal ?
Il fallut à des hommes une conscience du mal pour le dire, et enseigner à tous les autres la conscience de soi pour le stopper.
La conscience de soi était donc le bien,
Du moins son véhicule.
Erreur funeste ! La conscience du mal donna aussitôt aux hommes le pouvoir de le développer, voire, pour un grand nombre d’hommes, peut-être, – de s’en délecter en secret !
Le prix à payer pour stopper ici ou là le mal
Fut de le stimuler partout ailleurs, décuplé !
1 commentaire:
Plus qu'un simple repère, c'est un allié.
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